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La règle d'or

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Les chiffres que l'on connaît déjà sur le budget 2016 LE SCAN ÉCO - Ce mercredi, Michel Sapin, ministre des Finances et Christian Eckert, son secrétaire d'Etat chargé du Budget, présenteront le projet de loi de finances 2016. A l'occasion d'une conférence de presse, Michel Sapin et Christian Eckert détailleront ce mercredi les grandes lignes du budget de l'année prochaine. Un point sur les mesures que l'on connaît déjà. • 72 milliards Le projet de loi de finances devrait inscrire un déficit budgétaire autour de 72 milliards d'euros l'an prochain, contre 74 milliards cette année, d'après une information des Echos de ce lundi. • 14,5 milliards Le projet de loi doit comprendre 14,5 milliards d'euros d'économies sur la dépense publique pour atteindre un déficit de 3,3 % du PIB. • 600 millions A propos des mesures nouvelles annoncées depuis cet été, en direction des agriculteurs et pour l'accueil des réfugiés, Christian Eckert a estimé que leur impact était «évalué autour de 600 millions pour l'année 2016». • 2300 postes • 1 milliard • 100 millions

Dessine-moi l'éco : Qu'est-ce qu'un paradis fiscal ? Qu'est-ce qu'un pays en faillite ? INTERVIEW - La Grèce a promis d'honorer les prochains remboursements de sa dette. Mais elle risque toujours de se retrouver dans une situation de défaut de paiement. Comment cela se traduit-il ? Explications avec Mathieu Plane, économiste à l'OFCE. Le Figaro - Quand un pays est-il considéré en faillite? Mathieu Plane - Pour un pays, on parle de défaut de paiement, parce que contrairement à une entreprise, il n'y aura pas de liquidation judiciaire. Quel est le déclic qui fait passer un pays en situation de défaut de paiement? C'est automatique lorsque la dette d'un pays n'est plus soutenable, c'est-à-dire que sa croissance est insuffisante pour supporter la charge des intérêts de la dette. Une fois en défaut de paiement, que peut faire un pays? Son défi est de trouver des capitaux pour financer son économie, puisqu'il n'a plus accès à des financements extérieurs.

Le supermarché collaboratif arrive en France‏ La passion des bonnes choses Brian Horihan vient du Minnesota, et Tom Boothe de l’Indiana. Ces deux Américains se sont rencontrés à Paris par amour... de la bonne bouffe. Tom a été marqué durant ses études de beaux-arts (il est cinéaste de formation) par un prof de musique qui a su lui transmettre son amour du vin. « Il me racontait à quel point le fait de “bien manger” avait participé à la cohésion sociale en Italie, après la guerre, dans les années 1950. » Quelques cours d’œnologie plus tard, il devient acheteur en vin, une profession qu’il a exercée pendant douze ans. Ce qui l’anime ? Tom, Brian et Maëlanne Pour eux, les AMAP, La ruche qui dit oui ou les Biocoop sont de très belles initiatives, mais elles ne sont pas toujours accessibles à tous : « Ce n’est pas gai et cela donne beaucoup de signaux aux anciens hippies. Trouver un bon équilibre de valeurs L’idée, simple, consiste à créer un espace de vente de bons produits pas chers. Nouveaux modèles, nouvelles dynamiques

Impôts : et pourtant, ils baissent… depuis 30 ans ! Un sondage très commenté du Monde du 15 octobre est présenté avec ce gros titre : « Impôts : le désaveu des Français ». Le contenu détaillé de ce sondage invite à réfléchir à la nature de ce désaveu supposé et me fournit l’occasion de compléter mon billet récent « Ras-le-bol fiscal ou ras-le-bol de l’injustice fiscale ? ». On peut certes trouver dans le sondage des indices d’un ras-le-bol, dont ce chiffre choc : 72 % des personnes jugent le montant de l’impôt « excessif ». D’abord, on a encore 57 % de personnes qui jugent que payer l’impôt est un geste citoyen. Ensuite, 75 à 80 % des gens trouvent justifiés ou très justifiés les impôts les plus progressifs comme l’ISF et l’IR, ainsi que l’impôt sur les sociétés. Mais voici un autre graphique personnel (source : séries longues de l’Insee sur le budget de l’Etat et sur celui des administrations locales), qui nous conduit à un paradoxe. La courbe du bas indique une progression sensible des impôts locaux, toujours en % du PIB.

Comment le Japon résoudra le problème de sa dette publique de 249% du PIB LA CHRONIQUE DE JEAN-PIERRE ROBIN - L'Archipel a un énorme atout : sa cohésion sociale est en acier trempé. Avec un pactole individuel de 72.680 euros, les 127 millions de Japonais pourraient s'acheter chacun une Porsche ou une chambre de bonne à Paris. Sauf que les fonds n'en sont pas disponibles: ils servent à financer la dette de l'État, 11.444 milliards de dollars, deux années et demie du PIB. Sans conteste le record mondial: la France, qui n'est pas un parangon de vertu, affiche un taux d'endettement de 95 % de son PIB, contre 249 % pour le Japon. Malgré l'extravagance d'un tel ratio, l'Archipel reste très bien traité par les agences de notation. Standard & Poor's classe «AA-» sa dette souveraine, l'une des meilleures notes qui soit.

Les agents économiques et leurs opérations Des salariés, des travailleurs indépendants, des sociétés, des administrations publiques, des associations, participent à la création de richesses en produisant des biens et services. Cette production donne lieu à des échanges de biens, de services, de créances [1] et de monnaie.Les échanges entre ces différents acteurs de la vie économiques les rendent mutuellement interdépendants : le comportement de chacun affecte la situation des autres. Pour décrire ces interdépendances entre les agents de l’économie, il faut adopter un système de représentation. Les économistes procèdent en trois étapes : regrouper les agents en catégories homogènes en retenant comme critère la fonction principale (produire, consommer, financer...) regrouper les activités économiques en catégories d’opérations (la production, la consommation, l’investissement..) relier les agents dans un circuit traduisant les interdépendances qui naissent des opérations. Schématiser les relations économiques.

La TVA, un impôt qui rapporte gros à l'Etat Qu'est-ce que la TVA ? C’est une taxe payée par les consommateurs, calculée sur la valeur des biens et des services qu’ils achètent. Aujourd’hui, elle constitue la première ressource de nombreux Etats, en particulier en Europe, mais à l’origine il s’agit d’une invention française. La taxe sur la valeur ajoutée a été mise en œuvre pour la première fois en 1954, sous l’impulsion d’un inspecteur des Finances nommé Maurice Lauré, et cela a été une petite révolution. Auparavant, les impôts sur la consommation présentaient en effet l’inconvénient d’être cumulatifs : ils s’appliquaient à chaque étape de la commercialisation et frappaient donc les mêmes biens à plusieurs ­reprises. Comment y parvient-elle ? Grâce à un système de déduction en cascade un peu bizarre. Eh bien, l’Etat va lui rembourser les sommes versées. >>> L'analyse de Maryline Thenot, responsable du département Finance de Neoma Business School : Quelles conséquences aura la hausse de la TVA sur les entreprises ? Pas du tout.

La France proche d'un taux d'endettement de 100% en 2015 Le seuil des 100% à portée de main ? Selon Les Échos, le projets de loi de Finances pour 2015 devrait inscrire une dette publique proche de 98% du PIB en 2015, avant de refluer très légèrement les deux années suivantes. Le gouvernement adapte ainsi ses hypothèses de travail aux nouvelles donnes délivrées la semaine dernière. Lire La dette publique française proche des 2.000 milliards d'euros Les marchés restent toutefois confiants et l'État emprunte toujours à des taux historiquement bas. En début d'année, la Commission européenne avait, de son côté, prévenu que sept pays de la zone euro dépasserait le seuil des 100% du ratio dette publique/PIB.

Comment fonctionnent les impôts ? Comment fonctionnent les impôts ? Dessine-moi l’éco vous présente sa nouvelle vidéo… un peu différente des vidéos habituelles ! Vous allez découvrir une vidéo qui s’adapte à vos envies et vos connaissances, avec laquelle les impôts deviennent un sujet plus drôle que d’habitude ! Pour profiter au mieux de l’expérience, nous vous conseillons d’utiliser un ordinateur avec Google Chrome. Comment fonctionnent les impôts ? Dessine-moi l’éco vous présente sa nouvelle vidéo… un peu différente des vidéos habituelles ! Pour profiter au mieux de l’expérience, nous vous conseillons d’utiliser un ordinateur avec Google Chrome.

La direction du Budget a publié l’édition 2020 de son « Budget de l’État voté en quelques chiffres » Évaluation des recettes perçues par l’État en 2020 L’ensemble des ressources nettes du budget général de l’État comprend les recettes fiscales et non fiscales du budget général, ainsi que les recettes issues des fonds de concours ; en sont déduits les prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l’Union européenne. Pour 2020, les ressources nettes du budget général de l’État, dont sont déduits les prélèvements au profit des collectivités et de l’UE, sont estimées à 250,7 milliards d’euros. Équilibre du budget général de l’État Le budget général de l’État se définit par ses recettes et par ses dépenses, qui comprennent les dépenses relatives aux missions et les dépenses correspondant aux fonds de concours. Le total des dépenses nettes du budget général de l’État (dépenses relatives aux missions et aux fonds de concours) s’établissent à 343,7 milliards d’euros, hors remboursements et dégrèvements. Crédits de paiement ouverts par mission en 2020 Lien :

Quel est le taux des prélèvements obligatoires en France Chiffres clés Par Laurent Saillard Publié le 19/12/2018 à 19:20 - Mis à jour le 19/12/2018 à 19:20 Avec 48,4% de prélèvements obligatoires, la France est championne d’Europe. Selon Eurostat, les impôts et les cotisations sociales représentent en effet 48,4% du Produit Intérieur Brut (le PIB) de la France sur l’année 2017. C'est 8,2 points de plus que la moyenne européenne ! La France devance ainsi désormais le Danemark, la Suède et la Finlande, réputés pour leur taux élevé de prélèvements obligatoires. Selon les calculs de l'Institut économique Molinari (un think tank libéral), les Français doivent attendre le 27 juillet de chaque année pour atteindre la «libération fiscale», cette date à partir de laquelle ils ne travaillent plus pour régler leurs impôts, leurs cotisations et leurs taxes, mais pour eux-mêmes.

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