Www.parlonsrh. Depuis presque un an maintenant, la crise de la COVID-19 bouleverse les méthodes de travail, et contraint les responsables d’entreprise à réagir vite dans un contexte inédit.
Face au premier confinement national annoncé le lundi 16 mars 2020, les organisations se sont rabattues sur la seule modalité à leur disposition pour maintenir leur activité : le télétravail. Une fois l’urgence passée, il convient de s’interroger : quel regard porte la fonction RH sur le télétravail ? En juillet 2020, Gras Savoye Willis Towers Watson France a mené une enquête auprès de 132 DRH d’entreprises françaises de toutes tailles et industries confondues. 6 avantages pour la DRH de recourir à la mobilité interne. Connaissez-vous réellement les avantages que la Direction des Ressources Humaines peut tirer de la mobilité interne ?
Fidélisation des collaborateurs, gains de productivité, économies sur le recrutement, etc. Boostrs nous liste les 6 avantages à travers son infographie. Avantage n°1 : fidéliser les collaborateurs Selon une étude de Statista, un collaborateur français reste en moyenne 11 ans chez le même employeur. Parmi les pays membres de l’OCDE, la France se situe en 2e position, derrière l’Italie (12,2 ans) : comment expliquer cette longévité ? Avantage n°2 : répondre aux enjeux et besoins de l’entreprise Comme réagir vite lorsque l’entreprise reçoit de nouveaux projets avec des besoins spécifiques ? Le télétravail salarié. L'aménagement du temps de travail : un outil d'optimisation. Entre la rigidité des 35 heures hebdomadaires et la convention de forfait-jours dont la validité est souvent incertaine, l'employeur dispose d'autres solutions pour adapter le temps de travail de ses salariés aux besoins de l'activité de son entreprise.
Je m'abonne Des réformes récentes privilégient la négociation entre l'employeur et ses salariés, permettant ainsi de s'écarter de la convention collective. Télétravail : faut-il sauver la pause-café à l'heure de la distanciation sociale ? Marjorie se souvient. « Dans mon entreprise, nous avions une machine à café à chaque étage mais je me déplaçais quand même en bas, à ‘l’Agora’.
Pour prendre de vraies pauses et participer à ce qui ressemblait à des réunions informelles, détaille cette responsable des relations publiques dans le secteur du luxe. Ici, j’apprenais toujours quelque chose d’utile pour débloquer une situation ou alors je captais ces petits éléments me permettant, par la suite, de mieux comprendre la réaction de tel ou tel collaborateur. Surtout, la pratique du lobbying interne est cruciale dans l’entreprise. Edgar Morin : « Cette crise nous pousse à nous interroger sur notre mode de vie, sur nos vrais besoins masqués dans les aliénations du quotidien » Né en 1921, ancien résistant, sociologue et philosophe, penseur transdisciplinaire et indiscipliné, docteur honoris causa de trente-quatre universités à travers le monde, Edgar Morin est, depuis le 17 mars, confiné dans son appartement montpelliérain en compagnie de sa femme, la sociologue Sabah Abouessalam.
Lire aussi Coronavirus : « la baisse des besoins en matériel et en ressources humaines en réanimation se confirme » en France C’est depuis la rue Jean-Jacques Rousseau, où il réside, que l’auteur de La Voie (2011) et de Terre-Patrie (1993), qui a récemment publié Les souvenirs viennent à ma rencontre (Fayard, 2019), ouvrage de plus de 700 pages au sein duquel l’intellectuel se remémore avec profondeur les histoires, rencontres et « aimantations » les plus fortes de son existence, redéfinit un nouveau contrat social, se livre à quelques confessions et analyse une crise globale qui le « stimule énormément ». Julia de Funès : "Le télétravail agit comme un tamis : on ne voit que la performance. Impossible de faire semblant de travailler" - Ép. 3/5 - Pandémie, ce qui a déjà changé. Comme toutes les grandes crises de l’histoire, celle que nous vivons en ce moment accélère les grandes mutations menées depuis plusieurs années.
Et l’un des exemples les plus symboliques est sans doute l'accélération de la transformation numérique des économies et des sociétés. « Open space » : la première fois que « Le Monde » l’a écrit. C’est l’une des rares critiques qu’on ne lui avait pas encore faite.
Parce qu’il suppose la présence dans une pièce sans cloison de plusieurs dizaines de salariés, l’open space pourrait favoriser la propagation du Covid-19. De quoi redouter le déconfinement des salariés du tertiaire, majoritairement installés dans ce genre d’espace. Et, espèrent ses détracteurs, donner un coup d’arrêt à ce type d’organisation du travail. Lorsqu’il fait son apparition dans Le Monde, le 8 mai 1971, l’open space porte aussi le joli nom de « bureau paysage ». « Mot devenu magique pour des milliers de citadins privés d’arbres et de pelouses et qui, accolé à n’importe quel autre, évoque espace, verdure et liberté », s’amuse Michèle Champenois, pas dupe : « Bureau paysage (…) Un mot dont la poésie cache une technicité un peu terne puisqu’il désigne tout simplement des bureaux non cloisonnés.
L'après Covid-19 : les Français veulent maintenir le télétravail.