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Bernard Friot (sociologue)

Bernard Friot (sociologue)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il anime l'Institut européen du salariat et l'association d'éducation populaire Réseau Salariat, qui promeut l'idée d'un « salaire à vie » pour tous, une proposition alternative au revenu de base[3], idée que Friot dénonce comme étant « la roue de secours du capitalisme »[4]. Ses recherches portent sur la sociologie du salariat et la comparaison des systèmes de protection sociale en Europe. Il a plusieurs fois contredit des idées communément admises, comme en 2010 quand il explique que le « chômage des jeunes » est un « mensonge d'état », et qu'en réalité « un taux de chômage de 25 %, cela veut dire que le quart de 30 % des jeunes est au chômage. Related:  Communistes (H)finance économie

Iouri Andropov Iouri Vladimirovitch Andropov (en russe : Ю́рий Влади́мирович Андро́пов, ISO 9 : Jurij Vladimirovič Andropov), né à Nagoutskaïa le 2 juin 1914 (15 juin 1914 dans le calendrier grégorien) et mort à Moscou le 9 février 1984, est un homme d'État soviétique. Iouri Andropov intégra dès sa jeunesse le Komsomol et débuta une carrière politique au début des années 1940 dans la jeune République socialiste soviétique carélo-finnoise. Affecté à l'arrière du front pendant la guerre, il gravit les échelons dans l'organisation du parti communiste et devint ambassadeur en Hongrie de 1953 à 1957, où il participa à la répression sanglante de l'insurrection de Budapest. Soutenu par Nikita Khrouchtchev, il devint responsable des relations avec les partis communistes et ouvriers des pays socialistes, et évolua dans le même temps au sein du Comité central, dont il devint le secrétaire de 1962 à 1967. Biographie[modifier | modifier le code] Origines familiales[modifier | modifier le code]

Frédéric Lordon Frédéric Lordon en 2013. Frédéric Lordon, né le 15 janvier 1962, est un philosophe et économiste français. Il est chercheur au Centre de sociologie européenne (CSE)[1],[2],[3] et est directeur de recherche à la section 35 du CNRS (Sciences philosophiques et philologiques, sciences de l'art)[4],[5],[6]. Il est membre des Économistes atterrés[7], collectif défendant une pensée économique hétérodoxe et dont les positions rejoignent celles d'une partie de la gauche radicale française[7]. Biographie[modifier | modifier le code] Frédéric Lordon est né dans une famille bourgeoise de l'Ouest parisien. Ancien élève de l'École nationale des ponts et chaussées (promotion 1985), il rejoint l'Institut supérieur des affaires (promotion 1987)[9], devenu une maîtrise en administration des affaires (MBA) de l'École des hautes études commerciales de Paris (HEC). À cette même époque, d'électeur de droite, il devient communiste[8]. Affinités politiques[modifier | modifier le code]

Il y a 50 ans, la mort du Che Dans des circonstances non élucidées à ce jour, le guérillero a été exécuté le 9 octobre 1967, après avoir été capturé la veille à La Higuera, dans une région isolée des contreforts des Andes. C’est d’ailleurs ce jour, le 8 octobre, que les Cubains ont choisi de célébrer chaque année pour lui rendre hommage, comme le rappelle Anthony Berthelier dans le HuffPost, depuis Santa Clara où il a suivi les cérémonies. Car c’est dans cette ville située à 300 km à l'est de la capitale cubaine que le Che remporta en décembre 1958 une victoire décisive contre les troupes du dictateur Batista. En Bolivie, le gouvernement d’Evo Morales a décrété quatre jours d’hommage, ce qui ne plaît guère aux vétérans ayant combattu le révolutionnaire argentin. Lesquels, comme le rapporte Courrier International, « ont décidé d’organiser un hommage à leurs 58 collègues tués au combat » à l’époque. Régis Debray lui rend hommage à sa manière dans L’Obs Par Jacques Munier

« Ne rougissez pas de vouloir la lune : il nous la faut », par Serge Halimi (Le Monde diplomatique, juillet 2011) Economique mais aussi démocratique, la crise européenne soulève quatre questions principales. Pourquoi des politiques dont la banqueroute est assurée sont-elles néanmoins déployées dans trois pays (Irlande, Portugal, Grèce) avec une férocité remarquée ? Les architectes de ces choix sont-ils des illuminés pour que chaque échec — prévisible — de leur médication les conduise à en décupler la dose ? Dans des systèmes démocratiques, comment expliquer que les peuples victimes de telles ordonnances semblent n’avoir d’autre recours que de remplacer un gouvernement qui a failli par un autre idéologiquement jumeau et déterminé à pratiquer la même « thérapie de choc » ? Enfin, est-il possible de faire autrement ? La réponse aux deux premières questions s’impose sitôt qu’on s’affranchit du verbiage publicitaire sur l’« intérêt général », les « valeurs partagées de l’Europe », le « vivre ensemble ». Les « analphabètes » économiques paient, imaginant qu’il s’agit d’un tribut dû au destin

Valentín González Valentín González, dit « El Campesino », est un militaire républicain espagnol né le à Malcocinado, de la province de Badajoz (Estrémadure) et mort le à Madrid. Son courage, ses prises de position et son engagement sans concession, mais également sa brutalité et son manque de souplesse en ont fait à la fois un héros et un anti-héros. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et premiers engagements (1904-1936)[modifier | modifier le code] Valentín González nait en Estrémadure, l'une des régions les plus pauvres et les plus déshéritées de l'Espagne au début du XXe siècle. Fils d’un journalier, anarchiste de la CNT, il ne va que peu à l'école. Il exerce durant sa jeunesse divers métiers, tels que journalier ou muletier, ou encore mineur, en particulier dans les mines de Peñarroya, dans la province de Cordoue. Il atteint sa majorité alors qu'a éclaté la guerre du Rif. Guerre d'Espagne (1936-1939)[modifier | modifier le code] L'homme de tous les combats[modifier | modifier le code]

Pierre Rimbert (journaliste) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre Rimbert est un journaliste français. Il collabore au Monde diplomatique dont il devient rédacteur en chef adjoint en juin 2010. Pour l'auteur, l'entrée d'Édouard de Rothschild dans le capital du quotidien marque sa chute finale et l'échec cuisant du système mis en place par son directeur Serge July, que Pierre Rimbert peint comme l'un des principaux responsables de la dérive économique et idéologique du quotidien[réf. nécessaire]. Libération, de Sartre à Rothschild, Liber-Raisons d'agir, 2005.

Fernand Grenier Biographie[modifier | modifier le code] 1901-1932 : militant communiste d'Halluin (Nord)[modifier | modifier le code] 1933-1939 : vainqueur de Doriot à Saint-Denis[modifier | modifier le code] Soupçonné de trotskisme en 1930 à cause de son amitié avec Albert Cornette, secrétaire de la CGTU, il connaît une brève période de disgrâce jusqu'en 1932 où il reprend des responsabilités dans le Nord, puis comme permanent du Comité central, à Paris où il est chargé de l'animation de l'Association des Amis de l'URSS, fonction qu'il va conserver jusqu'en 1939. 1939-1944 : les années de guerre[modifier | modifier le code] Mobilisé en septembre 1939, il est démobilisé près d'Annecy. C'est à la suite d'un amendement qu'il dépose le à l'Assemblée consultative provisoire à Alger que le droit de vote des femmes est établi en France[6]. Après la guerre[modifier | modifier le code] Mandats Ouvrages de Fernand Grenier[modifier | modifier le code] Parus aux Éditions sociales, Paris :

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