Iouri Andropov Iouri Vladimirovitch Andropov (en russe : Ю́рий Влади́мирович Андро́пов, ISO 9 : Jurij Vladimirovič Andropov), né à Nagoutskaïa le 2 juin 1914 (15 juin 1914 dans le calendrier grégorien) et mort à Moscou le 9 février 1984, est un homme d'État soviétique. Iouri Andropov intégra dès sa jeunesse le Komsomol et débuta une carrière politique au début des années 1940 dans la jeune République socialiste soviétique carélo-finnoise. Affecté à l'arrière du front pendant la guerre, il gravit les échelons dans l'organisation du parti communiste et devint ambassadeur en Hongrie de 1953 à 1957, où il participa à la répression sanglante de l'insurrection de Budapest. Soutenu par Nikita Khrouchtchev, il devint responsable des relations avec les partis communistes et ouvriers des pays socialistes, et évolua dans le même temps au sein du Comité central, dont il devint le secrétaire de 1962 à 1967. Biographie[modifier | modifier le code] Origines familiales[modifier | modifier le code]
Jérôme CHOAIN - Google+ - Montage terminé. Voilà qui devrait plaire aux hérétiques… Attention tout de même à ne pas trop vouloir personnifier les analyses et solutions que propose B.Friot. C'est difficile, vu qu'il est un des rare animateur vraiment actif du Réseau Salariat à s'exprimer aussi souvent et partout (il a déjà enchaîné plus de 100 conférences et autres ateliers d'éducation populaire depuis la sortie de son dernier livre, "L'enjeu du salaire").C'est donc forcément lui qu'on voit partout et qu'on finit pas voir comme une sorte de "gourou", et tout comme le #FdG avec JLM, c'est un porte-parole qui a un tel verbe, une telle éloquence, un tel charisme, et des propos si cohérents, qu'on en arrive vite à tout ramener à son seul nom (ce qui les désole d'ailleurs, car victime de leur succès et de l'exposition, mais en même temps ils sont ravis de pouvoir diffuser autant leurs idées, c'est assez paradoxal mais c'est bien ça le but dans le fond). Quant à E.Chouard, c'est effectivement un fervent admirateur des livres et travaux de B.Friot.
Frédéric Lordon Frédéric Lordon en 2013. Frédéric Lordon, né le 15 janvier 1962, est un philosophe et économiste français. Il est chercheur au Centre de sociologie européenne (CSE)[1],[2],[3] et est directeur de recherche à la section 35 du CNRS (Sciences philosophiques et philologiques, sciences de l'art)[4],[5],[6]. Il est membre des Économistes atterrés[7], collectif défendant une pensée économique hétérodoxe et dont les positions rejoignent celles d'une partie de la gauche radicale française[7]. Biographie[modifier | modifier le code] Frédéric Lordon est né dans une famille bourgeoise de l'Ouest parisien. Ancien élève de l'École nationale des ponts et chaussées (promotion 1985), il rejoint l'Institut supérieur des affaires (promotion 1987)[9], devenu une maîtrise en administration des affaires (MBA) de l'École des hautes études commerciales de Paris (HEC). À cette même époque, d'électeur de droite, il devient communiste[8]. Affinités politiques[modifier | modifier le code]
Il y a 50 ans, la mort du Che Dans des circonstances non élucidées à ce jour, le guérillero a été exécuté le 9 octobre 1967, après avoir été capturé la veille à La Higuera, dans une région isolée des contreforts des Andes. C’est d’ailleurs ce jour, le 8 octobre, que les Cubains ont choisi de célébrer chaque année pour lui rendre hommage, comme le rappelle Anthony Berthelier dans le HuffPost, depuis Santa Clara où il a suivi les cérémonies. Car c’est dans cette ville située à 300 km à l'est de la capitale cubaine que le Che remporta en décembre 1958 une victoire décisive contre les troupes du dictateur Batista. En Bolivie, le gouvernement d’Evo Morales a décrété quatre jours d’hommage, ce qui ne plaît guère aux vétérans ayant combattu le révolutionnaire argentin. Lesquels, comme le rapporte Courrier International, « ont décidé d’organiser un hommage à leurs 58 collègues tués au combat » à l’époque. Régis Debray lui rend hommage à sa manière dans L’Obs Par Jacques Munier
Yvan Perez - Google+ - Montage terminé. Voilà qui devrait plaire aux hérétiques… Donc aucune objection finalement ? :-) Si tu remets quelque chose en cause, c'est visiblement la façon dont on attribue la qualification aujourd'hui, si je t'ai bien suivi ?... ou tu remettrais même en cause la façon dont on définit ce qu'est une qualification ? Cela dit, j'avais l'impression que tu remettais en cause le fait que le salaire dépende de la qualification. Quant à la valeur, c'est là aussi un débat intéressant, car de la façon dont on définit la valeur dépend aussi la façon dont on détermine la masse monétaire et la façon dont elle circule. Quelle est, concrètement, les reproches que tu aurais à faire à un tel modèle économique, et au salaire à vie attribué selon la qualification ?
« Ne rougissez pas de vouloir la lune : il nous la faut », par Serge Halimi (Le Monde diplomatique, juillet 2011) Economique mais aussi démocratique, la crise européenne soulève quatre questions principales. Pourquoi des politiques dont la banqueroute est assurée sont-elles néanmoins déployées dans trois pays (Irlande, Portugal, Grèce) avec une férocité remarquée ? Les architectes de ces choix sont-ils des illuminés pour que chaque échec — prévisible — de leur médication les conduise à en décupler la dose ? Dans des systèmes démocratiques, comment expliquer que les peuples victimes de telles ordonnances semblent n’avoir d’autre recours que de remplacer un gouvernement qui a failli par un autre idéologiquement jumeau et déterminé à pratiquer la même « thérapie de choc » ? Enfin, est-il possible de faire autrement ? La réponse aux deux premières questions s’impose sitôt qu’on s’affranchit du verbiage publicitaire sur l’« intérêt général », les « valeurs partagées de l’Europe », le « vivre ensemble ». Les « analphabètes » économiques paient, imaginant qu’il s’agit d’un tribut dû au destin
Valentín González Valentín González, dit « El Campesino », est un militaire républicain espagnol né le à Malcocinado, de la province de Badajoz (Estrémadure) et mort le à Madrid. Son courage, ses prises de position et son engagement sans concession, mais également sa brutalité et son manque de souplesse en ont fait à la fois un héros et un anti-héros. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et premiers engagements (1904-1936)[modifier | modifier le code] Valentín González nait en Estrémadure, l'une des régions les plus pauvres et les plus déshéritées de l'Espagne au début du XXe siècle. Fils d’un journalier, anarchiste de la CNT, il ne va que peu à l'école. Il exerce durant sa jeunesse divers métiers, tels que journalier ou muletier, ou encore mineur, en particulier dans les mines de Peñarroya, dans la province de Cordoue. Il atteint sa majorité alors qu'a éclaté la guerre du Rif. Guerre d'Espagne (1936-1939)[modifier | modifier le code] L'homme de tous les combats[modifier | modifier le code]
Yvan Perez - Google+ - Sortir de la lecture du réel qui nous est imposée au…