Voici comment vous passerez les 90 premières années de votre vie ! On dit souvent que l'on a la vie devant soi. Mais comment l'occupe-t-on au juste, cette vie ? On nait, on va à l'école, on travaille, on atteint enfin la retraite, certains se marient, divorcent, ont des enfants... Mais combien de semaines tout cela représente-t-il ? Les 7 principes du succès selon Steve Jobs - Francecopywriter Lorsqu’on est chef d’entreprise, on peut être assailli par le doute, et par le questionnement. Quelques conseils sont alors bienvenus et qui d’autre que Steve Jobs, le fondateur de la multinationale Apple, peut prodiguer des conseils pour vous aider ? Steve Jobs est synonyme de réussite, de créativité et d’innovation. Conseil n° 1 : Faites ce que vous aimez Que l’on aime ou que l’on déteste Steve Jobs, il n’avait pas tort sur tous les points. Tous les chefs d’entreprise vous le diront : ils aiment leur boulot, le font avec plaisir parce que ça leur rapporte une satisfaction.
La gauche ne peut pas mourir, par Frédéric Lordon (Le Monde diplomatique, septembre 2014) Dans le débat public ne circulent pas que des sottises : également des poisons. De toutes les navrances complaisamment relayées par la cohorte des experts et éditorialistes, la plus toxique est sans doute celle qui annonce avec une gravité prophétique la fin des catégories « droite » et « gauche », et le dépassement définitif de leur antinomie politique. On n’a pas assez remarqué la troublante proximité formelle, et la collusion objective, du « ni droite ni gauche » de l’extrême droite et du « dépassement de la droite et de la gauche » (« qui ne veulent plus rien dire ») de l’extrême centre.
Ruffin, Morel, Lordon, Fakir & Co : VIVE LA BANQUEROUTE ! L’histoire comme arme Ce n’est pas comme ça Yves Calvi , animateur de C dans l’air : « Le seul enjeu de 2012 ne doit-il pas être la réduction de la dette française et les moyens proposés pour y arriver ? » Nicolas Baverez , du Point : « Oui. » Rue89 Amy Chua à Séoul, le 13 octobre 2011 (LEE SEUNG-HWAN/AFP) Le livre est un brûlot. Raciste ou visionnaire ? Briseur de tabou ou malaxeur d’idées nauséabondes ? Ou juste un ramassis de lieux communs ?
Le management est-il pervers par essence ? Cet article appartient à la série « Harcèlement : paradoxes et nouvelle donne », qui fait suite à la journée sur le harcèlement organisée par l’École de Management de Normandie le 1er février 2018. Et si aucun management, même « bienveillant », ne pouvait être humainement soutenable ? Et si la nature du management était d’être pervers, sans que les approches via les risques psycho-sociaux, la RSE ou la QVT n’y puissent rien changer ? Au contraire, même, puisqu’elles partagent le même mode de fonctionnement ? Services publics, hôpitaux, recherche académique, vie familiale… Alors que tous les pans de la société cèdent les uns après les autres à la logique managériale, engendrant la même violence, la même souffrance, la même perte de sens, la question mérite d’être posée.
Le crépuscule d'une époque C’est une photo comme il y en a des milliers, certaines sympathiques, d’autres grotesques : un selfie. Deux ahuris font un selfie, regards béats et satisfaits. Ils se ressemblent comme deux gouttes d’eau. Ils sont visiblement très contents de leur coup, « on va le mettre sur Twitter pour les faire chier ».
Frédéric Lordon lance une charge virulente contre Thomas Piketty et son “Capital au XXI ème siècle” - NPA - Comité de l'Ariège Ce 17 avril dans “Ce Soir (ou jamais !)”, l’économiste et sociologue Frédéric Lordon a débattu avec l’auteur du “Capital au XXIe siècle” Thomas Piketty sur la nature du capitalisme et les moyens d’en sortir. Lordon est l’auteur d’une charge virulente du livre de Piketty ce mois-ci dans “Le Monde diplomatique”. Deux ans après la parution du Capital au XXIe siècle (éd. Seuil), la somme de l’économiste Thomas Piketty devenue un best seller international, on n’en a pas fini de gloser sur son contenu.
La planète en 2030 vue par les services de renseignement américains C’est un cadeau pour le président Obama fraîchement réélu : le rapport Global Trends 2030, concocté par le National Intelligence Council (NIC) et qui vient d’être rendu public. Le NIC, petit cousin de la CIA, est en quelque sorte le bras analytique et prospectif des services de renseignement américains. Son rapport imagine le monde de 2030. Il présente logiquement un tropisme fort pour la géopolitique mais il a l’intelligence de ne pas oublier que les nations, les sociétés vivent sur une planète physique dont les limites s’avèrent de plus en plus flagrantes, que les êtres humains ont des besoins élémentaires (se nourrir, boire, se loger, se chauffer, se déplacer) et que ne pas pouvoir les satisfaire est aussi un facteur d’instabilité dans le monde. Je laisserai les aspects purement diplomatiques et géostratégiques aux journalistes et blogueurs spécialisés dans ces domaines pour m’attarder sur la manière dont les services de renseignement américains voient la Terre nourricière en 2030.
La Société des affects (2013), Frédéric Lordon, Sciences humaines Voilà que les sciences sociales contemporaines se prennent de passion pour les « émotions ». Mais le risque est grand que ce « tournant émotionnel » les fasse tomber dans un individualisme sentimental qui porte à son comble l’abandon des structures, des institutions et des rapports sociaux, par construction coupables de ne pas faire de place aux choses vécues. Comment articuler les affects et les désirs des hommes avec le poids de détermination des structures ? Comment penser ensemble ces deux aspects également pertinents ? « The Circle », le roman d’un monde totalitaire inspiré par Google Quand Mae Holland est embauchée par The Circle (Le Cercle), l’entreprise vient tout juste de devenir la plus puissante du monde grâce à son système TruYou. TruYou a aboli l’anonymat et unifié tous les services sur le Net. « The Circle », le dernier roman de Dave Eggers (pas encore publié en France), raconte un univers dont la ressemblance avec Google n’échappera à personne. La transparence, la civilité et le partage sont les piliers de cet nouvel âge numérique dicté par une entreprise privée.
Pourquoi nos projets informatiques échouent – Compte-rendu du talk de Ludovic Cinquin à La Duck Conf 2018 Ludovic Cinquin inaugure La Duck Conf en nous présentant un ensemble d’idées reçues qui peuvent mener à l’échec de nos projets informatiques. Bien souvent ces échecs sont documentés, mais inconnus des acteurs de ces projets. Le speaker nous invite également à prendre non seulement du recul, mais aussi prendre en compte notre contexte de travail pour les dépasser. Idée reçue #1 : Pour livrer à temps une application, on va ajouter des développeurs Une pensée commune est de croire que si l’on augmente les ressources pour effectuer une tâche, celle-ci se terminera plus rapidement.