L’analyse des médias au prisme du genre : formation d’une épistémè Bibliographie Des DOI (Digital Object Identifier) sont automatiquement ajoutés aux références par Bilbo, l'outil d'annotation bibliographique d'OpenEdition.Les utilisateurs des institutions abonnées à l'un des programmes freemium d'OpenEdition peuvent télécharger les références bibliographiques pour lesquelles Bilbo a trouvé un DOI. Le service d'export bibliographique est disponible pour les institutions qui ont souscrit à un des programmes freemium d'OpenEdition.Si vous souhaitez que votre institution souscrive à l'un des programmes freemium d'OpenEdition et bénéficie de ses services, écrivez à : access@openedition.org. Althusser Louis, « Idéologie et appareils idéologiques d’État (Notes pour une recherche) », La Pensée, n° 151, 1970, pp. 4-60.
Tracés. Revue de Sciences humaines Le plus souvent connoté péjorativement, le terme irrécupérables ne désigne pas une catégorie instituée des sciences humaines et sociales. Dans le langage courant, on qualifie d’irrécupérables des personnes ou des choses qui ne peuvent pas être récupérées, et dont on cherche le plus souvent à se débarrasser parce qu’elles résistent à toute entreprise de réinsertion ou de recyclage. À l’heure de l’injonction à tout récupérer, réinsérer et recycler, ce dossier fait l’hypothèse que cette injonction exprime aussi un déni de la production massive et constante d’êtres et de choses irrécupérables par les sociétés capitalistes industrielles. Il ne s’agit pas nécessairement de placer sur un même plan la mise au rebut des choses et l’exclusion irréversible des individus, mais plutôt d’aborder conjointement les enjeux sociaux et environnementaux qui découlent de cette hypothèse. Quels dispositifs produisent des irrécupérables humains et non humains ?
Théories féministes de l’éducation : où est le care ? 1 Dans le féminisme français à la même époque, c’est bien plutôt une pensée critique d’inspiration so (...) 2 Toutefois, elle ne s’y réduit pas. Un certain nombre de travaux – en particulier des travaux récent (...) 1La question de la théorisation d’une éducation alternative proprement féministe1 s’étant bien plus développée outre-Atlantique (notamment du fait d’un essor plus conséquent des Women’s studies aux Etats-Unis et au Canada), le domaine a pu déployer une diversité reflétant celle des pensées féministes elles-mêmes. Ainsi, de même qu’il convient de reconnaître non pas un mais des féminismes, s’élaborent dès les années 1970 non pas une mais des éducations féministes (Solar, 1992). De ce fait, la pensée du care en éducation apparaît2, dans les années 1980, dans un contexte théorique qui est celui d’une pluralité de modèles.
Fétiches et molécules « Le blog de Tobie Nathan Tobie Nathan * Texte paru dans le Dossier Hors-série Sciences et Avenir n°169 intitulé Qu’est-ce que l’Homme ? — 100 scientifiques répondent À la question « qu’est-ce que l’homme ? », je donnerais une réponse immédiate, abrupte : « l’homme n’est rien ! »… J’ajouterais aussitôt (peut-être pour me rassurer) : « les objets qu’il fabrique sont tout ! En finir avec le binarisme féministe Voilà plusieurs semaines que je présente La révolution du féminin dans les médias et qu’en paraissent les premiers comptes-rendus. C’est évidemment une grande joie que de pouvoir discuter de mes travaux et recueillir les commentaires, critiques et réactions qu’ils suscitent. Mais cela me plonge aussi dans une certaine perplexité qui vire parfois à l’énervement, notamment quand je remarque que les termes dans lesquels on restitue mes réflexions ne sont pas les miens. Quoi de plus normal, m’objectera-t-on, chaque lecteur étant libre de parler d’un livre lu avec ses propres mots. Le problème, s’agissant d’un essai, c’est que certaines modifications terminologiques changent le sens même des propositions. Je n’en donnerais qu’un exemple : l’adjectif féminin que j’emploie souvent, notamment pour évoquer une « expérience du féminin » ou la « disparition du sujet féminin », ne peut être remplacé par féminité sans modifier radicalement la teneur de mon propos.
Le désordre domestique Entretien avec Jean Paul Filiod PDF Imprimer Envoyer Jean Paul Filiod est anthropologue…en France. Il appartient à la génération des chercheurs qui vont à la rencontre de l’étranger et de l’étrange dans leur propre société. LGBTQ Heritage Theme Study - Telling All Americans' Stories (U.S. National Park Service) Theme Study Contents LGBTQ America: A Theme Study of Lesbian, Gay, Bisexual, Transgender, and Queer History is a publication of the National Park Foundation for the National Park Service and funded by the Gill Foundation. Each chapter is written and peer-reviewed by experts in LGBTQ Studies. For more information on the theme study, please read the LGBTQ Theme Study Fact Sheet.
"Theory" in sociology What is a sociological theory? And how does it relate to the challenge of providing explanations of social facts? In the natural sciences the answer to this question is fairly clear. L'Homme: "La seule espèce dont les mâles tuent les femelles" Françoise Héritier est anthropologue, professeure émérite au Collège de France. elle travaille notamment sur la parenté, les systèmes d'alliances et la question du genre. elle est l'auteure de Masculin/Féminin: dissoudre la hiérarchie. (Photo Xavier Romeder pour Sciences et Avenir) Que dit-on de l’Homme ?
Levi-Strauss Humanisme ? Donneur de voix : Augustin Brunault | Durée : 2min | Genre : Histoire Pour Lévi-Strauss, un humanisme véritable implique le respect de la vie sous toutes ses formes. « J’ai le sentiment que toutes les tragédies que nous avons vécues, d’abord avec le colonialisme, puis avec le fascisme, enfin les camps d’extermination, cela s’inscrit non en opposition ou en contradiction avec le prétendu humanisme sous la forme où nous le pratiquons depuis plusieurs siècles, mais, dirai-je, presque dans son prolongement naturel. [...] » > Consulter la version texte de ce livre audio. NB. Pour être averti(e) de la mise en ligne de nouveaux livres audio sur le site, inscrivez-vous à notre lettre d'information !
Le festival féministe dont vous n’avez jamais entendu parler (et pourtant vous devriez le connaître!) Vous n’avez jamais entendu parler de ce festival. Pourtant, il existe depuis 1997. Organisé par le Studio XX, un centre d’artistes féministes fondé en 1996, l’événement d’arts numériques HTMlles est impossible à résumer en quelques mots.
L’autoreprésentation féminine dans la bande dessinée pornographique 1L’autoreprésentation est une figure de l’autoportrait de l’auteur en bande dessinée analysée par Thierry Groensteen (2014). Commentée par des auteurs comme Jean-Christophe Menu (2009), cette figure rhétorique de la bande dessinée classique fleurit également dans les underground comics américains des années 60 et 70. Imposée par des récits intimes de la vie quotidienne ou la retranscription de fantasmes de l’auteur, son avatar fait vaciller les codes propres aux genres bien établis, dans ce mouvement que Laurent Gerbier décrit dans l’apparition de l’autobiographie comme « arme anti-générique » (Alary 2015, page 34). 2La pornographie semble déjà entretenir, à dessein, une friction entre fiction et réalité.
Colères, une revue anarcha-féministe de 1978 à 1980 - Marseille Infos Autonomes Présentation tirée du journal CPCA n° 2 (août 1978) : Nous nous sommes retrouvées entre femmes libertaires sur Paris (les femmes de la FA, de l’OCL, de la Lanterne Noire et des Inorganisées). Nous sommes parti de deux constatations ; d’une part, nous ne nous reconnaissons pas toujours dans les revendications et les pratiques du mouvement de femmes, (les assises sur le viol entre autre…) d’autre part, le mouvement libertaire ne prend pas suffisamment en compte certains problèmes spécifiques, tel que celui de la femme, soit qu’il le relègue à un “front secondaire”, soit qu’il le nie en tant que problème spécifique (les anarchistes combattent pour la libération de l’individu quel qu’il soit ; on ne doit pas faire de division !). En tant que femmes libertaires, nous affirmons qu’il y a une oppression spécifique de la femme et que nous devons la prendre en compte à travers les luttes que nous menons à tous les niveaux (pas seulement au sujet de la sexualité).
2018 Féminismes quatrième génération Une nouvelle sémiotique féministe émerge en ce début de xxie siècle, issue des contextes sociaux et politiques contemporains ainsi que des nouvelles donnes internationales et intersectionnelles du militantisme féministe : on voit apparaître de nouveaux signes, de nouveaux textes, de nouveaux discours, de nouveaux slogans, de nouveaux symboles. Ce numéro explore la variété de ce renouvellement en examinant les dispositifs mis en place par les jeunes militant·e·s dont l’éducation féministe s’est faite avec Internet, le genre et l’intersectionnalité. A new feminist semiotics appears at the beginning of the twenty-first century, emerging from contemporary social and political contexts as well as new international and intersectional feminist militancy: new signs, new texts, new discourses, new slogans, new symbols.