Gerard Toal Irish geographer Gerard Toal (Irish: Gearóid Ó Tuathail; born 1962 in the Republic of Ireland[1]) is Professor of Government and International Affairs at Virginia Polytechnic Institute and State University. Career[edit] Toal holds a B.A. in History and Geography from National University of Ireland, Maynooth, an M.A. in Geography from the University of Illinois at Urbana-Champaign (1984), and a Ph.D. in Political Geography from Syracuse University (1989). He served for ten years as an Assistant Professor of Geography at Virginia Tech in Blacksburg, before establishing the Government and International Affairs program in the School of Public and International Affairs. Toal has authored, co-authored, and/or edited eight books. In 2005, Toal testified before the United States Congress on political developments in Bosnia-Herzegovina. Selected books[edit] G. Further reading[edit] References[edit] ^ Hague, Euan (2004): Gearóid Ó Tuathail (Gerard Toal). External links[edit] Gerard Toal's blog
Geopolitics : la géopolitique dans le monde anglo-américain 1Le terme géopolitique est peu usité en dehors du champ de la géographie dans le monde anglo-américain mais gagne en notoriété depuis deux décennies. L’étude des rivalités de pouvoir sur des territoires, à différents niveaux d’analyse, n’est pour autant pas absente de la littérature scientifique, pas plus que la question des représentations et de leur fonction dans les conflits locaux, régionaux ou internationaux. La prise en compte du rôle des acteurs, des intérêts et représentations contradictoires dans les rivalités entre États ou entre forces politiques est largement répandue dans les études stratégiques de politique internationale comme dans les rivalités locales autour de projets d’aménagement ou de redécoupage de circonscriptions électorales. La cartographie, en revanche, est nettement moins abondante et sophistiquée qu’en Europe. 7 Les grands bouleversements politiques occasionnent souvent un questionnement accru sur la façon dont le monde fonctionne.
Lebensraum Origines[modifier | modifier le code] Le terme Lebensraum est créé par Friedrich Ratzel (1844-1904) vers la fin du XIXe siècle[2], puis développé par le géographe Karl Haushofer (1869-1946), et est employé comme slogan en Allemagne pour réclamer l'unification du pays et l'acquisition de colonies selon les modèles britannique et français. Ratzel croit que le développement d'un peuple est principalement influencé par sa situation géographique et qu'un peuple s'étant « adapté » avec succès à un endroit envahira naturellement un autre endroit. Selon lui, il faut remplir l'espace disponible. L'expansion est donc un dispositif normal et nécessaire de toutes les « espèces saines ». Ces croyances sont mises en avant notamment par Karl Haushofer et Friedrich von Bernhardi. Le gouvernement allemand étudie la théorie du Lebensraum de Ratzel et en conclut que la colonisation est un moyen d'augmenter à la fois l'empire et l'« espace vital ». Le Lebensraum nazi[modifier | modifier le code]
Halford Mackinder English geographer, academic and politician, 1861-1947 Early life and education[edit] Mackinder was born in Gainsborough, Lincolnshire, England, the son of a doctor, and educated at Queen Elizabeth's Grammar School in Gainsborough, Epsom College and Christ Church, Oxford. At Oxford he started studying natural sciences, specialising in zoology under Henry Nottidge Moseley, who had been the naturalist on the Challenger expedition. He received a degree in biology in 1883 and one in modern history the next year.[2] Career[edit] A 1904 map from Mackinder's The Geographical Pivot of History. His next major work, Democratic Ideals and Reality: A Study in the Politics of Reconstruction, appeared in 1919.[16] It followed the 1904 book titled The Geographic Pivot of the History,[13] and presented his theory of the Heartland and made a case for fully taking into account geopolitical factors at the Paris Peace conference and contrasted (geographical) reality with Woodrow Wilson's idealism. Works[edit]
Geopolitik (école allemande) 19th-century German school of geostrategy Geopolitik is a branch of 19th century German statecraft, foreign policy and geostrategy. It developed from the writings of various German philosophers, geographers and thinkers, including Oswald Spengler, Alexander Humboldt, Karl Ritter, Friedrich Ratzel, Rudolf Kjellén, and Karl Haushofer. Some of its tenets were adapted, and eventually incorporated into the ideology of Adolf Hitler. German foreign policy was largely consistent in both wars. Geopolitik rises[edit] German geopolitik contributed to Nazi foreign policy chiefly in the strategy and justifications for Lebensraum. In 1919, General Karl Haushofer would become professor of geography at the University of Munich. Geopolitik was in essence a consolidation and codification of older ideas, given a scientific gloss: The key reorientation in each dyad is that the focus is on land-based empire rather than naval imperialism. Friedrich Ratzel[edit] Rudolph Kjellén[edit] Haushofer's contribution[edit]
Podcast (2022). L'âge d'or de l'OSINT (et la guerre en Ukraine). Le Collimateur, IRSEM. Rudolf Kjellén Johan Rudolf Kjellén (Swedish: [ˈrʉːdɔlf ɕɛˈleːn], 13 June 1864, in Torsö – 14 November 1922, in Uppsala) was a Swedish political scientist, geographer and politician who first coined the term "geopolitics". His work was influenced by Friedrich Ratzel. Along with Alexander von Humboldt, Carl Ritter, and Ratzel, Kjellén would lay the foundations for the German Geopolitik that would later be espoused prominently by General Karl Haushofer. A conservative politician, he was a member of the Second Chamber of the Parliament of Sweden from 1905 to 1908 and of its First Chamber from 1911 to 1917. Ideas[edit] Kjellén was Ratzel's student and would further elaborate on organic state theory, coining the term "geopolitics" in the process. The basics of his ideas were presented in 1900 in the book Introduction to Sweden's Geography (based on lectures at Gothenburg University). Autarky for Kjellén was a solution to a political problem, not an economic policy in itself. Influence[edit] See also[edit]
Alexander von Humboldt — une icône du monde globalisé ? 1Ces lignes, moins souvent citées qu’elles ne le mériteraient, sont empruntées au Journal de la protagoniste des Affinités électives, le roman de Goethe le plus connu en France après Werther. Ottilie ne fait pourtant pas preuve là de la subjectivité propre au diariste. Évoquer la figure d’Alexander von Humboldt, c’est pour elle, à qui le narrateur (ou l’auteur ?) prête le style sentencieux qu’il affectionne alors de plus en plus, c’est bien davantage définir un type de savant dans sa relation au monde, aux phénomènes comme aux hommes, à travers aussi la médiation par la parole. 2Le trait qui le caractérise le mieux, c’est, à suivre Goethe, un effort constant pour comprendre la spécificité irréductible des lieux et des gens : les géographies dites physique et humaine sont avec lui indissolublement liées. 3En cette année de 150e anniversaire de la mort du savant prussien, les publications n’ont pas manqué. 9Ce sentiment ne lui était au demeurant pas propre.
Alexander von Humboldt Signature Biographie[modifier | modifier le code] Alexander, issu de la famille noble von Humboldt est né à Berlin le 14 septembre 1769 d'un père militaire prussien, le chambellan et major général Alexander Georg von Humboldt (de)[AW 1], et d'une mère d'origine française huguenote, Marie-Elisabeth von Humboldt, qui se charge d'organiser l'instruction de ses enfants en faisant appel à un très grand nombre de professeurs. Alexander est le frère cadet de Wilhelm von Humboldt (Guillaume de Humboldt), linguiste, fonctionnaire, diplomate, ministre de Prusse et philosophe allemand. Formation[modifier | modifier le code] À 9 ans, à la mort de son père, Alexander est élevé par sa mère, au château de Tegel, près de Berlin. Alexander montre un intérêt prononcé pour l'histoire naturelle. En 1787, les deux frères vont étudier à l'université de Francfort-sur-l'Oder. À 18 ans, il est initié à la botanique par son ami Carl Ludwig Willdenow. De Freiberg à Paris[modifier | modifier le code] (en français)
cette perle est un bijou de refléxions. de nombreux sujets traités, et des plus intéressants qui plus est! by emdoulila Sep 7