Le plan de sortie de crise.
Gouvernement des biorégions : de l'hospitalité au temps des catastrophes - Institut Momentum. Crédit photo : V.
Vicenzo Par son aspiration à réorganiser les établissements humains selon des cohérences écologiques, la biorégion se définit comme un biotope politique de guérison terrestre. Il y a dans cette notion une dimension d’éthique incarnée : mesurer les feedbacks et comprendre les connections n’est possible qu’à une échelle limitée. 20200404 noteeco 153 utilite sociale des metiers. Des personnalités créent un « Conseil national de la Nouvelle Résistance » Opposées à la politique du gouvernement qu'elles qualifient de «liberticide», des personnalités de tous horizons, journalistes, éditeurs, avocats, sociologues, philosophes, économistes, ont créé un «Conseil national de la Nouvelle Résistance» (CNNR) pour proposer un mode de gouvernance alternatif, ont-elles annoncé ce jeudi.
Sous la présidence d'honneur des résistants Anne Beaumanoir et Claude Alphandéry, ce CNNR, nommé ainsi en référence au Conseil national de la Résistance, rassemble à leurs côtés, neuf femmes (Dominique Méda, Danièle Linhart, Sabrina Ali Benali, Anne Eydoux, Pauline Londeix, Véronique Decker, Fatima Ouassak, Anne-Claire Rafflegeau, Clotilde Bato) et neuf hommes (Dominique Bourg, Samuel Churin, Pablo Servigne, Olivier Favereau, Yannick Kergoat, Jean-Marie Harribey, Dominique Rousseau, Antoine Comte, Benoît Piédallu). Le résultat publié le 27 mai, journée nationale de la Résistance.
Trois scénarios post-pandémie. Le premier scénario, le plus probable, est celui d’un retour à la situation antérieure à la crise globale que nous vivons, à coup de milliers de milliards de dollars pour soutenir les activités économiques.
Une illusion de retour à la normale, qui creusera des dettes publiques déjà abyssales suite à la crise économique de 2008 (déjà un effet de la mondialisation capitaliste). Les Etats en ressortiront encore plus affaiblis et auront donc encore plus de mal à faire face à la prochaine crise globale, inéluctable. Dr Patrick Pelloux: «Ce qu’il faut changer dans notre système de santé»
(6) Covid-19, Chloroquine et crise globale. Pour limiter les pandémies, les humains doivent « décoloniser le monde » États-Unis, Allemagne, France.
Tour à tour, les pays industrialisés se préparent à relancer leur économie mise à l’arrêt par le coronavirus. Chacun y va de son plan « historique », alignant dollars et euros sans rechigner. Petit hic, relevé notamment par le Journal de l’environnement : à ce stade, aucun programme ne s’interdit de renflouer des entreprises polluantes ou destructrices de la biodiversité. Aux États-Unis, le secteur industriel, l’aviateur Boeing, les compagnies aériennes, mais également la multinationale Airbnb, ont réclamé leur part dodue des 2.000 milliards de dollars promis par l’administration Trump.
Climat. « Sachons sortir des sentiers battus, des idéologies, nous réinventer », le Président l’a dit, la Décroissance nous y invite. « Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.
Nous devons aujourd’hui reprendre le flambeau et donner toute sa force à ce principe. Il nous faudra bâtir une stratégie où nous retrouverons le temps long, la possibilité de planifier, la sobriété carbone, la prévention, la résilience qui seules peuvent permettre de faire face aux crises à venir. […] Sachons, dans ce moment, sortir des sentiers battus, des idéologies, nous réinventer – et moi le premier. » Lors de son discours du 13 avril 2020, le président E.
Macron laissait entrevoir un changement de paradigme. Quelques réflexions sur la régulation de la publicité. L’objectif devrait être maintenant d’aller vers une société sobre, égalitaire, socialiste, au sens où les grandes évolutions de la production et de la consommation devraient être décidées de façon collective (et non pas imposées par les stratégies des grandes firmes).
Il faudrait satisfaire les besoins essentiels à moindre coût en termes de pollution et d’émission de gaz à effet de serre. Développer des besoins nouveaux superficiels ou des consommations ostentatoires ne devrait plus être une priorité. Ne pas redémarrer pour tout recommencer. Tribune david flacher. Tribune. Tribune présentée par un collectif autour de Philippe Desbrosses,Agriculteur, Docteur en Sciences de l’Environnement* lire la liste des signataires en pied de cette tribune LA CRISE ALIMENTAIRE EST IMMINENTE, car à la détérioration continue des sols s’ajoute le blocage des circuits internationaux de transport sur lesquels repose le système alimentaire mondial.
Nous ne sommes pas mieux préparés à cette échéance qu’à l’actuelle crise sanitaire. Propositions pour un retour sur Terre – La pensée écologique. Dominique Méda : "Dans les consciences des citoyens fermente une révolution" La Tribune : La métaphore guerrière et la dialectique belliqueuse sont abondamment employées, en premier lieu par le chef de l'Etat, pour caractériser la nature du combat contre l'épidémie de coronavirus.
Une métaphore qui peut être, comme l'estime votre confrère Michel Wieviorka, inopportune, mais qui n'est pas sans enseignement. Notamment, par le biais de l'histoire, sur une nécessité : "l'après", s'il est souhaité disruptif, se pense, se débat, se prépare et s'organise "pendant". TRIBUNE. "D'un plan de relance à un plan de transformation : la démocratie pour préparer le monde d'après"
20h15 , le 11 avril 2020, modifié à 14h47 , le 13 avril 2020 Voici la tribune, signée notamment par des élus et des acteurs de la démocratie participative, pour "un plan de transformation citoyenne" après le confinement : "Le gouvernement planche sur le "plan de relance économique" qui doit permettre au pays de sortir la tête de l’eau après son confinement.
Ces premiers pas seront décisifs pour notre avenir à tous. Orientations, par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 7 avril 2020) Prologue En réalité, c’est simple.
Nous savons maintenant indubitablement que la manière dont nous avons vécu – la manière capitaliste – mène au désastre général. Gaël Giraud: «Il est temps de relocaliser et de lancer une réindustrialisation verte de l’économie française» Crise sanitaire : les propositions se multiplient pour penser un après plus écologique. Bruno Le Maire l’a prédit au Sénat lundi 6 avril : la France devrait connaître la pire récession de son histoire depuis la Seconde Guerre mondiale.
Comment rebondir après une crise aussi grave ? « Le jour d’après ne sera pas un retour au jour d’avant », a promis Emmanuel Macron lors de son intervention télévisée du 16 mars dernier. Pourtant, les premières décisions gouvernementales ne laissent rien présager de bon : détricotage du Code du travail, refus de restaurer l’impôt sur la fortune, soutien à l’industrie fossile et aéronautique… TRIBUNE POUR QUE LE JOUR D%27APRÈS SOIT EN RUPTURE AVEC LE DÉSORDRE NÉOLIBÉRAL (1) Comment annuler la dette pour redémarrer l'économie. Si l’on en croit Le Monde, « Les Républicains » ont une vision sur l’économie. Dommage qu’on ne sache rien à propos des autres formations sur le même sujet. C’est dans l’édition qui évoque « le déconfinement » à la une, sans dire non plus d’ailleurs un mot du débat politique qui a commencé à ce sujet. Voici donc quatre colonnes sur la pensée économique de la droite républicaine.
Je les ai lues avec attention. Je n’ai pas été déçu. L'Espagne va instaurer un revenu universel face au coronavirus. Le gouvernement espagnol travaille sur la mise en place d'un revenu universel, dans le cadre du déploiement d'une série de mesures pour lutter contre les impacts néfastes du coronavirus, a fait savoir dimanche la ministre de l'Economie, Nadia Calvino.
C'est le ministre de la Sécurité sociale, Jose Luis Escriva, qui coordonne le projet. Il prévoit d'instaurer ce revenu de base «dès que possible», en mettant l'accent sur l'aide aux familles, ajoute la ministre de l'Economie, également vice-premier ministre, selon l'agence de presse Bloomberg. Dominique Bourg: le coronavirus «troublera nos sociétés sur le temps long»
Philosophe et professeur honoraire à l'Université de Lausanne, ancien président du conseil scientifique de la Fondation Nicolas Hulot, Dominique Bourg revient pour RFI sur les changements impulsés par la pandémie de coronavirus dans nos sociétés. RFI : Le Covid-19 touche les classes aisées comme les plus pauvres. Ne pourrait-on pas y voir là l’occasion de retrouver un sens du commun ?
Dominique Bourg : Effectivement, le coronavirus ignore le compte en banque. Mais la réaction de la société, elle, est très liée aux classes sociales. Il n’y a que les gens qui travaillent avec leurs mains qui vont bosser. Zoonose agir au sud. La Relève et La Peste. L’idée prend de l’ampleur dans le monde entier, ou plutôt dans le monde confiné : créer un revenu universel pour absorber les conséquences d’une crise économique encore plus sévère que celle de 2008.
L’Espagne devient une pionnière en la matière, avec la déclaration de la Ministre de l’Economie dimanche : le gouvernement espagnol va lancer un revenu universel, et il devrait durer une fois l’épidémie passée. Nadia Calvino, la ministre de l’Economie, a confirmé dimanche que le gouvernement espagnol travaille sur la mise en place d’un revenu universel. Après l’Italie, l’Espagne est le deuxième pays européen le plus touché par la pandémie de Covid-19 avec, le lundi 6 avril, plus de 12 000 morts, selon les chiffres du ministère de la Santé. Le revenu universel va être instauré « dès que possible » afin de soulager financièrement les familles les plus fragilisées par la crise, d’après Jose Luis Escriva, ministre de la Sécurité Sociale, qui coordonne le projet. Le monde d’après-demain – Fondation Copernic. Chronique d’un confiné, par Vincent Message : “Combattre de toutes nos forces pour que l’après ne soit pas l’avant” - Livres.
Bruno latour. (20+) Planification, «révolution des salaires» : les idées-choc du numéro 3 de LR. Le coronavirus aura-t-il la peau du capitalisme néolibéral ? 10 propositions concrètes post-COVID-19. La stratégie de la décroissance (V. Liegey) Patrick Viveret nous met en garde contre les risques de dérives autoritaires.