Est-on sûr de l'origine du virus ? Cette carte montre la vitesse à laquelle le coronavirus s'est répandu dans le monde. Coronavirus COVID-19, fake news et mésinformation : où trouver des informations fiables ? - Quoi dans mon assiette. L’OMS (organisation mondiale pour la santé) évoquait une “infodémie” par rapport au foisonnement d’informations sur le nouveau coronavirus COVID-19.
Il est vraiment difficile de s’y retrouver dans les vraies informations, des opinions voire des fausses informations “fake news”. Mise à jour : je vous propose une énorme synthèse en image à télécharger sous forme d’un powerpoint Questions/Réponses) s’il ne s’affiche pas, il faut recharger la page ou télécharger le fichier) : Des chercheurs écrivaient dans le journal scientifique Science que les fausses informations sur le réseau social Twitter entre 2006 et 2017 ont touché sont diffusées vers 1000 à 100 000 personnes alors que les vraies informations ne toucheraient que 1000 personnes. Une première étape quand on lit une information est d’identifier l’auteur, le type et la source de l’information. Distinguer le type d’information Où trouver de l’information fiable ? Je vous propose une liste non exhaustive des sites que je considère fiables : Covid-19 : le vaccin développé trop vite ? "Les phases ont été respectées", assure un infectiologue.
L'essentiel La rapidité du lancement de la campagne de vaccination contre le Covid-19 peut surprendre voire même parfois inquiéter.
Les vaccins ont-ils été développés trop rapidement avant leur mise sur le marché ? Éléments de réponse. C'est début janvier 2021 que les premiers vaccins contre le Covid-19 seront disponibles. Les pensionnaires des Ehpad et le personnel seront les premiers vaccinés en France sur la base du volontariat, selon les recommandations de la Haute autorité de santé.
Moins d'un an après l'arrivée du virus en Europe, un vaccin pourra donc être administré. Coronavirus: la justice américaine en lutte contre les traitements bidon. Après des solutions à l'eau de javel, des infusions à la vitamine C et "une thérapie à l'ozone", la justice américaine a bloqué la vente de produits à base d'argent présentés à tort comme un remède au nouveau coronavirus.
Un tribunal fédéral a interdit à un résident de l'Utah de vendre ses "traitements frauduleux" et a gelé ses avoirs, a annoncé mercredi le ministère de la Justice, alors que le président Donald Trump est dans la tourmente pour avoir évoqué des injections de "désinfectant" contre le Covid-19. D'après des documents judiciaires, Gordon Pedersen vendait depuis au moins 2014 via son site MyDoctorSuggests.com, mais aussi sur Amazon, des gels, savons, gélules et liquides à base d'argent, en vantant les prétendues propriétés curatives du métal contre plusieurs maux. Commercialisés à différent prix, avec la substance "phare" à 299,95 dollars le gallon (3,78 litres), ses produits se vendaient particulièrement bien depuis quelques semaines, selon le dossier judiciaire.
Coronavirus : quelles mesures prises dans les pays européens ? Face à la multiplication des nouveaux cas en Italie et au risque de pandémie, de nombreux pays d’Europe ont renforcé les mesures visant à lutter contre la propagation du coronavirus. 1.
Des mesures de confinement La Roumanie a placé en quarantaine une douzaine de personnes en provenance des onze villes italiennes autour desquelles un cordon sanitaire a été instauré. Des couloirs spéciaux de débarquement pour les voyageurs arrivant des zones à risque ont été mis en place dans les aéroports où la température des voyageurs est contrôlée. Ceux qui se sont récemment rendus en Italie ou en Chine sont priés de rester chez eux. L’Europe, épicentre de la pandémie, se cloisonne face au Covid-19. Alors que la décision américaine d’interdire l’accès des Etats-Unis aux Européens et aux autres étrangers ayant séjourné dans l’un des vingt-six pays de l’espace Schengen entrait en vigueur à l’aube, samedi 14 mars, plusieurs pays européens optaient pour la fermeture, totale ou partielle, de leurs propres frontières.
Vendredi, l’OMS a déclaré que l’Europe était désormais « l’épicentre » de la pandémie, alors que l’urgence semblait monter de plusieurs crans sur l’ensemble du continent. L’Autriche, La République tchèque, la Slovaquie, la Pologne ou le Danemark semblaient ainsi donner raison à Luca Zaia, le président de la Vénétie, l’une des régions d’Europe les plus touchées par la pandémie de coronavirus, qui déclarait, vendredi, « désormais Schengen n’existe plus, on s’en souviendra dans les livres d’histoire ! » Cet élu de la Ligue (extrême droite) résumait en fait assez bien une perception générale, en Italie comme ailleurs. Après la crise du Covid-19 : quels gagnants et quels perdants ? À quoi le monde d’après le Covid-19 ressemblera-t-il ?
Quels seront les rapports de force internationaux après la crise sanitaire, commerciale, économique et politique qui frappe la plupart des pays ? Quelles nations, quelles économies, quelles régions sortiront durablement affaiblies de ce moment ?